MobiFer

Métropolitain
Métro4
Porte de Clignancourt Double flèche Bagneux – Lucie Aubrac

Illustration de la ligne
© Adnane sur Wikimedia Commons

Plan de la ligne

Cliquez sur la puce d’une station ou l’icône d’une ligne pour consulter sa page dédiée.

Ce plan a été conçu verticalement pour permettre une navigation optimale sur le web et les appareils mobiles.

Les nombres figurant à droite de la ligne représentent le temps de marche entre deux stations. Quand celui-ci est inférieur à 10 minutes, privilégiez la marche.

Télécharger le plan (PDF, 60 Ko)Télécharger

Statistiques et données

Mise en service 21 avril 1928
Dernier prolongement 13 janvier 2022
Matériel MP 89 CA (21 rames au 5 juin 2023)
MP 05 (11 rames au 11 février 2023)
MP 14 CA (19 rames au 6 décembre 2024)
Conduite (système) Automatique intégrale
Arrêts 29
Longueur 14 km
Temps de parcours moyen 36 minutes
Communes desservies 3
Interstation moyenne 500 m
Fréquentation moyenne
(2023)
151,7 M par an (2e sur 14)

Le saviez-vous ?

À son ouverture en 1908, la ligne 4, première à relier le nord et le sud de Paris, franchit la Seine sur deux branches. Le tracé nécessite de traverser la rivière à deux endroits via l’île de la Cité, créant ainsi les stations Cité et Saint-Michel. Un concours est organisé pour résoudre le défi de la traversée sous-fluviale, et le projet de l’entreprise Chagnaud, utilisant un caisson vertical et un tunnel unique pour les deux voies, est retenu.

Bilan carbone Feuille verte, symbolisant l’écologie.

Il est estimé à 3,8 g l’émission de gaz à effet de serre (GES) par voyageur et pour chaque kilomètre parcouru en métro. En parcourant la ligne 4 du métro de terminus à terminus, vous émettrez 53,2 g de GES. Or, si tous les voyageurs annuels de la ligne la prenaient ainsi, environ 8070 tonnes de GES seraient émises !

Une voiture émet en moyenne 134 g/km de GES. Les mêmes trajets effectués cette fois-ci en voiture émetteraient alors environ 1 081 500 tonnes de GES, soit 35 fois plus qu’en prenant le métro.

Ainsi, on voit l’impact positif qu’a le fait de privilégier les transports en commun à la voiture. En effet, même si les calculs et nombres sont approximatifs, ils donnent l’idée représentative que prendre les transports en commun est un geste pour l’environnement.

Galerie photo


Cliquez sur une image pour l’agrandir.

© Zoric